1774 en littérature

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Cet article présente les faits marquants de l'année 1774 en littérature.

• Fondation du Journal de politique et de littérature par Simon-Nicolas-Henri Linguet, où il se fait le partisan d’un despotisme éclairé ; le journal sera interdit en 1776^[1].
• Thomas Paine devient rédacteur en chef du Pennsylvania Journal, qui paraît jusqu'en 1777^[2].
• Nikolaï Novikov fonde une imprimerie où il édite l’Ancienne Bibliothèque russe.

• Jean-Baptiste de Beaurain, L’Histoire de la campagne de M. le Prince de Condé en Flandre en 1674 chez Jombert père, Delaguette, Monory, Paris.
• Condorcet publie la correspondance de d’Alembert avec Voltaire.
• Thomas Jefferson, Aperçu sommaire des droits de l’Amérique britannique.
• Friedrich Gottlieb Klopstock, La République allemande des savants.
• Johann Kaspar Lavater :
  • Fragments physiognomoniques ;
  • Mélanges.
• Jean-Paul Marat publie à Londres The Chains of Slavery (Les Chaînes de l'esclavage)^[3].
• John Wesley, Pensées sur l’esclavage.

• automne : Johann Wolfgang von Goethe publie anonymement Die Leiden des jungen Werthers : Les Souffrances du jeune Werther, à l'occasion de la Foire du livre de Leipzig ; ce roman épistolaire connaît une notoriété considérable dès sa sortie et assure la célébrité de son auteur^[4].
• En France, le philosophe des Lumières Voltaire publie Le taureau blanc ainsi que De l'Encyclopédie

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