Alphonse Gaudar de La Verdine

Cet article est une ébauche concernant un peintre français.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Alphonse Gaudar de La Verdine
Alphonse Gaudar de La Verdine, plaque commémorative, Rome, église Saint-Louis-des-Français.
Naissance
ou Voir et modifier les données sur Wikidata
BourgesVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata
SienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
PeintreVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Académie de France à Rome (-)
École nationale supérieure des beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Pierre Jean François Gaudar de Laverdine (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinction
Prix de RomeVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Augustin Alphonse Gaudar de La Verdine, né le à Bourges (Cher) et mort à Sienne (Italie) le , est un peintre néo-classique français.

Biographie

Alphonse Gaudar de La Verdine est le fils de Pierre Gaudart, seigneur de La Verdine (1736), président trésorier de France à Bourges, confirmé dans sa noblesse à l'assemblée de Bourges en 1789, et de Marie Jourdain[1]. Il est le frère du peintre Pierre Jean François Gaudart de Laverdine (1779-1840), qui épouse Adeline Anisson du Perron le [2].

Avec son frère, il étudia la peinture à l'Académie royale de peinture et de sculpture à Paris où il fut l'élève de François-André Vincent et l'ami de Pierre-Narcisse Guérin[3].

Il obtient le grand prix de Rome de peinture pour Manlius Torquatus condamnant son fils à mort en 1799, et devient pensionnaire de l'Académie de France à Rome à la villa Médicis. Il meurt prématurément à Sienne, le , d'une maladie inconnue[4]. Une plaque en marbre commémorative, située dans la dernière chapelle du bas-côté droit de l'église de Saint-Louis des-Français à Rome, lui rend hommage[5].

Une partie de ses peintures est aujourd'hui conservée à Châteauroux au Musée-hôtel Bertrand et la quasi-intégralité de ses dessins au musée des Beaux-Arts de Tours. La plupart des œuvres fut léguée par la petite nièce de l'artiste, Marguerite Savary de Lancôme-Brêves, comtesse de Lambert[3].

Galerie

Notes et références

  1. Archives départementales du Cher à Bourges: paroisse de Saint-Pierre-le-Puellier
  2. Relevés Familysearch, « Acte de mariage », sur Geneanet (consulté le )
  3. a et b Cecile Debray et Annie Gilet, Gaudar de Laverdine (1780-1804). Une œuvre inachevée
  4. Dictionnaire de Biographie Française, 1980: Gaudar de La Verdine
  5. Recherches privées à Rome

Sources

  • Cécile Debray et Annie Gilet, Gaudar de Laverdine (1780-1804). Une œuvre inachevée, Ville de Châteauroux, 1999
  • Dictionnaire de biographie française
  • Catalogue du Musée Bertrand de Châteauroux
  • Dessins du musée des Beaux-Arts de Tours – XVIe-XVIIIe siècle (catalogue), SilvanaEditoriale, 2013
  • Bourges, Archives départementales du Cher (paroisse de Saint-Pierre-le-Puellier)
  • Paris, Archives de l’École nationale supérieure des beaux-arts,

Article connexe

  • icône décorative Portail de l’histoire de l’art
  • icône décorative Portail du néo-classicisme
  • icône décorative Portail de la peinture