Aquilaria sinensis

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Aquilaria sinensis
Description de l'image HK Aquilaria sinensis Leaves.JPG.
Classification
Règne Plantae
Classe Magnoliopsida
Ordre Myrtales
Famille Thymelaeaceae
Genre Aquilaria

Espèce

Aquilaria sinensis
1998

Classification phylogénétique

Classification phylogénétique

Statut de conservation UICN

( VU )
VU  : Vulnérable

Aquilaria sinensis est une espèce de plantes du genre Aquilaria de la famille des Thyméléacées.

Le bois vivant d'Aquilaria sinensis, comme celui d’autres espèces de ce genre dont surtout le très réputé et recherché Aquilaria crassna, produit une résine particulière, odorante en réaction à certaines agressions physiques (blessures, feu) ou biologiques (attaques d’insectes xylophages, de bactéries et champignons).

Cette résine est dite « calambac », « gaharu, » « bois d'agar », « bois de oud »[1], « bois d'argile », « bois d'aloès » (ou « bois de gélose » pour les scientifiques)[2].

La poudre ou le copeau du bois malade qui produit cette résine ou l'huile essentielle qu'on en tire sont très recherchés par la médecine traditionnelle asiatique et de plus en plus pour l’industrie des cosmétiques et de papiers et d'encens parfumés.

Les Aquilaria ont été très surexploités depuis les années 1970 et sont dans les années 2000 considérés comme menacés de disparition sur l'essentiel de leur aire de répartition.

Galerie

  • Arbre
    Arbre
  • Tronc
    Tronc
  • Fleurs
    Fleurs
  • Fruits et feuilles
    Fruits et feuilles

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Aquilaria sinensis, sur Wikimedia Commons
  • Aquilaria sinensis, sur Wikispecies
  • (en) Référence Catalogue of Life : Aquilaria sinensis (Lour.) Spreng (consulté le )
  • (en) Référence NCBI : Aquilaria sinensis (taxons inclus) (consulté le )
  • (en) Référence UICN : espèce Aquilaria sinensis

Notes et références

  1. Catherine Vanesse, « Bois de Oud : plus précieux que l'or ! », Gavroche Thaïlande, no 252,‎ , p. 46 et 47 (lire en ligne [PDF])
  2. Pierre-Alexandre Sallier, « Un eldorado nommé agar, oud, gaharu ou jinkoh », sur tdg.ch, Tribune de Genève,
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