Commanderie du Breuil-de-Cellefrouin
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| Commanderie du Breuil -de-Cellefrouin | |||
| Présentation | |||
|---|---|---|---|
| Fondation |  Templiers XIIe siècle | ||
| Reprise |  Hospitaliers 1312 | ||
| Géographie | |||
| Pays |  France | ||
| Région | Nouvelle-Aquitaine | ||
| Province historique | Angoumois, Poitou, Marche | ||
| Département | Charente | ||
| Commune | Cellefrouin | ||
| Géolocalisation | |||
| Coordonnées | 45° 54′ 18″ nord, 0° 24′ 20″ est[1] | ||
| Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
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Le commanderie du Breuil-de-Cellefrouin est une possession hospitalière anciennement templière située à Cellefrouin, en Charente, au nord-est d'Angoulême. Il n'en reste aucun vestige.
Historique
Le Temple du Breuil de Cellefrouin était une petite commanderie templière aux origines obscures[2].
En 1312, à la dissolution de l'ordre du Temple au concile de Vienne, cette maison est passée aux chevaliers hospitaliers de Saint-Jean et fut réunie au XVIe siècle à la commanderie de Villegats[2].
Vers 1600, l'abbé Nanglard nous informe que Villegats avait aussi sous sa dépendance les temples d'Angoulême, de Vouthon, de Malleyrand, du Breuil, de Malandry et de Vestizons[N 1], toutes portant le vocable de Saint-Jean[3].
Malandry (ou le Malandri), tout proche, était situé sur la route d'Ambernac à Saint-Laurent-de-Céris, dont il n'y a plus de vestiges, a été jointe au Breuil lors de l'union avec Villegats[N 2].
D'après l'abbé Nanglard, la chapelle du Breuil était en mauvais état en 1674 et le commandeur « avait été condamné à la restaurer »[2],[4].
Après la Révolution les biens du Breuil, répartis entre les communes de Cellefrouin et d'Ambernac[5],[N 3], furent aliénés et la chapelle disparut[4].
Description
Il ne reste aucun vestige et seul le nom du Temple que porte le village voisin reste[4].
Commandeurs templiers
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Commandeurs hospitaliers
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Notes et références
Notes
- ↑ Lieu-dit l'Hôpitau, à Villetison, petit village au sud de Villefagnan.
- ↑ À noter un lieu-dit le Temple sur cette même route, près de Saint-Laurent.
- ↑ Ambernac est mentionné par Chevalier dans l'ouvrage de Charles Daras comme ayant des biens du Breuil. Peut-être une confusion avec Saint-Laurent-de-Céris ?
Références
- ↑ Carte IGN sous Géoportail
- ↑ a b et c Daras 1981, p. 48
- ↑ Nanglard 1900, p. 282, dans Charles Daras sur Villegats
- ↑ a b et c Gillet 2014, p. 92
- ↑ Chevalier 1928, p. LXXXIII
Sources
- Chanoine Chevalier, Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1928, p.LXXXIII
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2)
- Charles Daras, Les Templiers en Charente, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1954), 117 p. (lire en ligne)
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Jacques Dubourg, Les Templiers dans le Sud-Ouest, Éditions Sud Ouest, , 312 p. (ISBN 978-2-8790-1451-7)
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