Dorothée-Sophie de Saxe-Weimar

Dorothée-Sophie de Saxe-Altenbourg
Biographie
Naissance
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WeimarVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 57 ans)
WeimarVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Abbaye de QuedlinbourgVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Religieuse catholiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Famille
Maison de WettinVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-WeimarVoir et modifier les données sur Wikidata
Mère
Sophie de WurtembergVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Jean-Philippe de Saxe-Altenbourg
Anne-Sophie de Saxe-Altenbourg (d)
Frédéric de Saxe-Altenbourg
Jean-Guillaume de Saxe-Altenbourg
Dorothée de Saxe-Altenbourg
Frédéric-Guillaume II de Saxe-AltenbourgVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

La duchesse Dorothée Sophie de Saxe-Weimar () est la princesse-abbesse de Quedlinbourg.

Elle est le quatrième enfant et la deuxième fille de Frédéric-Guillaume Ier de Saxe-Weimar, et de sa première épouse, Sophie de Wurtemberg (1563-1590).

Règne

Le 21 avril 1618, Dorothée Sophie est élue successeur de la princesse-abbesse Dorothée de Saxe. Son élection est approuvée par Matthias Ier de Habsbourg.

Durant son règne, Quedlinbourg, est dévastée par la Guerre de Trente Ans. Contrairement à ses prédécesseurs, la princesse-abbesse Dorothée Sophie est souvent confrontée au protecteur de l'abbaye, Jean-Georges Ier de Saxe.

La politique religieuse

Dorothée-Sophie interdit au clergé de refuser l'absolution à une personne qui a fait un véritable contrit et la confession. Toutefois, si le même paroissien a répété le péché, ils devaient faire face à des châtiments plus sévères et, enfin, un renvoi devant le consistoire. Elle proscrit que ces paroissiens ne soient pas en mesure de servir de parrains et marraines, ni être enterré selon la tradition ou dans un sol sacré. Ces décisions ont suivi la précédente pratique Catholique. Elle a également pris des mesures pour empêcher le secret des fiancailles, en déclarant que tout engagement doit être vu par trois hommes et annoncé publiquement[1].

Références

  1. (en) Susan C. Karant-Nunn, The reformation of ritual : an interpretation of early modern Germany, London/New York, Routledge, , 282 p. (ISBN 0-415-11337-7, lire en ligne)

Liens externes

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