Les Trois Âges et la Mort

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Trois âges.

Cet article est une ébauche concernant la peinture, la mort et le musée du Prado.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Les Trois Âges et la Mort
Artiste
Hans Baldung
Date
1543
Type
Huile sur toile
Dimensions (H × L)
151 × 61 cm
Mouvement
Renaissance nordiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
No d’inventaire
P002220Voir et modifier les données sur Wikidata
Localisation
Musée du Prado, Madrid

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Les Trois Âges et la Mort, Les Trois Âges de l'Homme ou Les Trois Âges de la Vie est un tableau peint sur toile par Hans Baldung en 1543[1]. Il mesure 151 cm de haut sur 61 cm de large. Il est conservé au musée du Prado à Madrid, en Espagne.

Description

On voit dans ce tableau quatre personnages : l'enfant, sur le sol à droite ; la jeune femme à gauche ; la femme mûre, entre la jeune femme et la Mort à sa droite.

Les tons exploités sont froids, les seules nuances visibles sont un blanc très pâle, le gris du ciel et de la Terre et un marron dégradé, qui correspond à la fois aux corps de la femme mûre et de la Mort, mais aussi à l'arrière-plan. Les couleurs exploitées montrent un manque de vie dans ce tableau, et la présence de la Mort, rappelant que le temps passe, montre la fatalité de la vie des Hommes.

Les ressemblances entre la jeune femme et la Mort sont visibles : tête au trois-quarts inclinée vers la droite, regard froid fixant le spectateur : leur différence réside dans leur apparence physique. Quand la femme à gauche apparaît très pâle (symbole de pureté), la Mort est montrée comme dégarnie, très maigre et n'a pas de seins. La Mort tient de la main gauche la faucille, (un de ses symboles) et dans la main droite un sablier, symbole du temps qui passe.

Ce tableau exploite le thème des Vanités à travers une représentation humaine, qui montre que la vocation de l'Homme est de mourir.

Notes et références

  1. Gorgievski, Sandra, « Rojas, Chaucer et Shakespeare au miroir de l'iconographie : les tro... », Babel. Littératures plurielles, Université du Sud Toulon-Var, no 22,‎ , p. 99–117 (ISSN 1277-7897, DOI 10.4000/babel.224, lire en ligne, consulté le ).

Liens externes

  • Ressource relative aux beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Musée du Prado
  • icône décorative Portail de la peinture
  • icône décorative Portail de la Renaissance
  • icône décorative Portail du Saint-Empire romain germanique
  • icône décorative Portail du musée du Prado