Fille de Gaston de France et de Marie de Bourbon-Montpensier. Duchesse de Montpensier, dauphine d'Auvergne, princesse de Joinville et dame de Beaujeu.
Après la mort de la Grande Mademoiselle, le domaine fut mis en fermage. Le ; le roi Charles IX rappelait que le roi son frère avait réuni à la couronne le domaine de Bar. Les seigneurs avait donc la jouissance par autorisation royale et devaient toutes les cinq années à la Cour des comptes de Dijon, faire examiner les revenus du domaine.
Arthur Daguin, « Les évêques de Langres : étude épigraphique, sigillographique et héraldique », dans Société historique et archéologique de Langres, Mémoires de la Société historique et archéologique de Langres, t. I (no III), 1880-1901 (lire en ligne sur Gallica).
Ernest Petit, Histoire des ducs de Bourgogne de la race capétienne avec des documents inédits et des pièces justificatives, t. II, Paris, Lechevalier, (lire en ligne sur Gallica), « Généalogie des premiers comtes de Tonnerre, documents inédits du Xe siècle pour servir à l'histoire... et des comtes inconnus jusqu'ici de Bar-sur-Seine », p. 419-442.
Lucien Coutant, Histoire de la ville et de l'ancien comté de Bar-sur-Seine, , 476 p. (lire en ligne), p. 371-376.
Jacques Laurent, Cartulaires de l'abbaye de Molesmes, ancien diocèse de Langres, 916-1250 : recueil de documents sur le nord de la Bourgogne et le midi de la Champagne, t. I, (lire en ligne sur Gallica), chap. IV (« Des comtes de Bar-sur-Seine et des seigneurs de Montbard »), p. 319-324.
Jacques Laurent, chap. 8 « L'origine du comté de Bar », dans Discussions et documents sur le duché carolingien et capétien (Annales de Bourgogne), (lire en ligne), p. 172-180.