Paul Gentilhomme

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Ne doit pas être confondu avec Paul Louis Victor Marie Legentilhomme.

Paul Gentilhomme
Biographie
Naissance
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Reims
Décès
Nom de naissance
Paul, François, Joseph, Benoît GentilhommeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
DramaturgeVoir et modifier les données sur Wikidata
Rédacteur à
Journal de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Enfant

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Paul Gentilhomme, né vers 1775 à Reims et mort le à Paris[1], est un dramaturge français.

Biographie

Gentilhomme a composé des poésies et quelques pièces de théâtre représentées à Paris au théâtre de la Gaîté[2]. Il a été pendant longtemps l’un des rédacteurs du Journal de Paris. Employé pendant de très nombreuses années au ministère de la Guerre, une réforme l’a privé, à la force de l’âge, d’un poste qu’il n’avait cessé de remplir avec zèle et intelligence. Privé de presque toutes ses ressources, il ne doit peut-être la maladie à laquelle il a succombé qu’à cette perte d’emploi[3]. Il était le père du romancier, dramaturge et librettiste français Molé-Gentilhomme[4].

Œuvres

  • Femme à vendre, ou le Marché écossais, folie en 1 acte, mêlée de vaudevilles, avec Belle, 1817.
  • Crillon et Bussy d'Amboise, fait historique en 1 acte, mêlé de couplets, avec Gabriel-Alexandre Belle, 1818.
  • Poinsinet en Espagne, folie-vaudeville en 1 acte, suivie d'une notice sur Poinsinet, avec Auguste Lefranc, 1835.
  • La Luciole, avec Emmanuel Gonzalès, posthume, 1837.
  • Le Chant du sacre, cantate, musique de Jean-François Le Sueur, non daté.

Notes et références

  1. Paris, État civil reconstitué, vue 2/51.
  2. Joseph-Marie Quérard, La Littérature contemporaine : XIXe, t. 4 G-LAZ, Paris, , 6 vol. ; in-8° (lire en ligne), p. 62.
  3. « M. Gentilhomme », Le Corsaire : journal des spectacles, de la littérature, des arts, des mœurs et des modes,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  4. Les continuateurs de Joseph-Marie Quérard l’ont même confondu avec son père, en lui attribuant Femme à vendre (1817), Crillon et Bussy d’Amboise (1818), alors qu’en 1817, il n’avait que quatre ans.

Liens externes

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    • Les Archives du spectacle
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