Sept ans de malheur
« Sept ans de malheur » est une expression renvoyant au symbolisme d'un miroir brisé, objet de superstitions depuis l'Antiquité.
Les Grecs comme les Romains pratiquaient la catoptromancie car ils pensaient que le miroir était le reflet de l’âme[1]. Pour lire l'avenir, ils utilisaient un récipient en terre cuite recouvert d’une pellicule d’eau. Si ce « miroir » improvisé se brisait, la personne venue consulter l’oracle était déclarée maudite pendant sept ans, ce qui correspond aux âges de la vie divisée de sept en sept ans chez les Romains[2],[3].
Au cinéma
Cette expression a inspiré le titre des films suivants :
- Sept Ans de malheur (Seven Years Bad Luck), film américain de Max Linder sorti en 1921 ;
- Sept Ans de malheur (Come persi la guerra), film italien de Carlo Borghesio sorti en 1947.
Notes et références
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