Thomas Portes

Thomas Portes
Illustration.
Thomas Portes en 2022.
Fonctions
Député français
En fonction depuis le
(2 ans, 1 mois et 30 jours)
Élection 19 juin 2022
Réélection 7 juillet 2024
Circonscription 3e de la Seine-Saint-Denis
Législature XVIe et XVIIe (Cinquième République)
Groupe politique NUPES-LFI
Prédécesseur Patrice Anato
Biographie
Date de naissance (38 ans)
Lieu de naissance Carmaux (Tarn, France)
Nationalité Française
Parti politique PCF (2014-2020)
G.s (2021)
LFI (depuis 2021)
Syndicat CGT
Profession Cheminot
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Thomas Portes, né le à Carmaux (Tarn), est un homme politique français. Il est élu député de La France insoumise de la 3e circonscription de la Seine-Saint-Denis lors des élections législatives de 2022 puis réélu en 2024 sous les couleurs du Nouveau Front populaire.

Il est salarié de la SNCF en disponibilité. En 2021, il est porte-parole du mouvement Génération.s.

Biographie

Jeunesse et formation

Thomas Portes est né en 1985 à Carmaux (Tarn), « la ville de Jaurès », d'un père cheminot engagé à la CGT et d'une mère travaillant dans le secteur du logement social[1],[2]. Il effectue sa scolarité à Agen au lycée Bernard Palissy puis obtient une licence de droit à l'université Bordeaux-IV.

Carrière

En 2010, il intègre la SNCF en région Aquitaine et devient agent circulation[réf. souhaitée]. Il travaille comme chef circulation en horaires décalés à la gare de Montauban.

En 2019, il se met en disponibilité pour devenir chef de cabinet du maire de Champigny-sur-Marne.

En 2021, il devient directeur de la Confédération nationale du logement à Montreuil.

Parcours politique

Membre du Parti communiste français (PCF), il participe à la création de la section départementale du Mouvement des jeunes communistes du Lot-et-Garonne qui se mobilise, entre autres pour permettre aux étudiants de prendre le train gratuitement et empêcher le licenciement d'une femme de ménage de la gare SNCF d'Agen[3],[4],[5].

En 2014, il est candidat aux élections municipales à Agen sur la liste de rassemblement de la gauche conduite par Emmanuel Eyssalet, qui est battue par la droite au premier tour[6],[7]. Candidat aux élections départementales de 2015 en Lot-et-Garonne pour le PCF avec Karima Djemai, il réalise un score de 5,4 %[8].

En 2015, lors des élections régionales, il est candidat aux côtés d'Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF, sur une liste de rassemblement de gauche. Candidat dans le Lot-et-Garonne, il est chargé de l'animation numérique de la campagne et des relations avec la presse sur la région Nouvelle-Aquitaine. La liste obtient 4,8 % des voix et ne peut pas fusionner au second tour[9].

À partir de 2018, il est chargé d'animer le collectif national des cheminots communistes dans le cadre d'une campagne intitulée « La bataille du rail »[10].

En 2018, il est membre de la direction fédérale du PCF et porte-parole de l'organisation pour le département[11].

De à , il est chef de cabinet du maire de Champigny-sur-Marne Christian Fautré[12],[13].

En , il rejoint le parti Génération.s et en devient le porte-parole national lors de la convention du mouvement qui se tient le [réf. nécessaire].

En 2021, dans le cadre de la primaire du Pôle écologiste, il est le porte-parole de Sandrine Rousseau (EELV) qu'il quitte en après sa défaite pour soutenir Jean-Luc Mélenchon[14], refusant de faire campagne pour Yannick Jadot dont les positions « ne sont pas celles d'une remise en cause des logiques libérales du système[14]. » Lors de la campagne présidentielle, il milite aux côtés d’Aurélie Trouvé, Éric Coquerel ou encore Anthony Smith.

En 2022, Il est candidat aux élections législatives dans la troisième circonscription de la Seine-Saint-Denis sous l'étiquette de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES). Il est élu au second tour face au candidat de La République en marche Patrice Anato avec 53,96 % des voix[15].

En 2024, il est rééélu au second tour face à Denis Cretin-Gielly, candidat du Rassemblement national.

Engagement syndical

Secrétaire du syndicat UFCM-CGT des cheminots du Tarn-et-Garonne[16], et membre de la direction départementale du syndicat[réf. nécessaire], il fait partie du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail[Lequel ?] et siège au conseil économique, social et environnemental régional d'Occitanie[Quand ?][17].

Après avoir participé pendant plusieurs jours en 2014 au mouvement opposé au projet de regroupement de la SNCF et RFF dans une même holding[18], il est l'auteur d'une lettre adressée à l'ensemble de ses collègues pour appeler à amplifier la mobilisation[19].

En , il est à l'initiative d'un appel à maintenir le train Perpignan-Rungis (dit « train des primeurs ») stoppé durant l’été 2019 « faute de clients, et devant la vétusté de ses wagons réfrigérés »[20], signé par des personnalités politiques, syndicales et associatives[21]. Le gouvernement annonce finalement en le retour de cette liaison via la procédure d'appel à manifestation d'intérêt[22].

Prises de position

Lutte contre l'extrême droite

Thomas Portes en 2018

En 2018, alors que le groupuscule d'extrême droite Génération identitaire mène une opération au col de l'Échelle dans les Alpes pour dénoncer « l'invasion migratoire », Thomas Portes écrit sur le réseau social Twitter pour dénoncer cette opération. Quelques mois après, il est assigné en justice pour « injures publiques » par Génération identitaire[23]Un comité de soutien présidé par Marie-Pierre Vieu, ancienne députée européenne PCF, est créé. Le procès initialement prévu le 31 janvier 2020 se tient en septembre 2021. Le 21 octobre 2021, il est relaxé par le tribunal de Paris et gagne le procès intenté par Génération Identitaire.[réf. nécessaire]

À la suite de ce procès, il publie un livre intitulé Au cœur de la haine, qui décrit l'extrême droite en France et en Europe[24].

En , il dépose une résolution co-signée par plus de 60 députés de la NUPES pour demander la constitution d’une commission d'enquête parlementaire sur les groupuscules d'extrême droite en France[25].

En , il est menacé de mort par le groupuscule d'extrême droite « Comité 732 »[26]. C’est la seconde fois qu’il est visé par un courrier de menaces de mort provenant de ce groupuscule. Le député, ainsi que deux ONG humanitaires, qui avaient préféré rester discrètes pour des raisons de sécurité, avaient déjà été pris pour cible via des missives similaires le [27].

Affaire Anthony Smith

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Au mois d', marqué par le contexte de la crise sanitaire du Covid-19 et de la pénurie de masques en France, Anthony Smith, inspecteur du travail, se voit sanctionné pour avoir tenté d'imposer à une entreprise qu'elle fournisse des masques FFP2 à ses salariés. En réaction à cette affaire, Thomas Portes lance une pétition en ligne pour exiger le retrait de cette sanction, signée par plus de 150 000 personnes[28]. En lien avec la pétition, un comité de soutien présidé par Danièle Linhart, sociologue et directrice de recherche au CNRS, Thomas Portes, syndicaliste et initiateur de la pétition, et Mathilde Panot, députée La France Insoumise du Val-de-Marne, se met en place[29]. De nombreux parlementaires[Lesquels ?] interpellent la ministre du Travail Muriel Pénicaud pour exiger le retrait de cette sanction ; des dizaines de rassemblements ont lieu en France[30].

Après des semaines de contestation, la nouvelle ministre du Travail Élisabeth Borne annonce en qu'elle annule la mutation d’Anthony Smith en Seine-et-Marne (hors inspection), tout en précisant qu’il serait réintégré en section d’inspection du travail dans sa région, mais dans un autre département[31].

Conflit israélo-palestinien

Le , il participe à une manifestation de soutien à la Palestine interdite par la préfecture de Paris, lors de laquelle il demande au journaliste Frédéric Haziza s'il condamne « le terrorisme de l'État d'Israël »[32].

Le , il rencontre l'ambassadeur de France en Égypte, Éric Chevallier, avant de se rendre le lendemain, avec d'autres députés de la NUPES, devant le poste-frontière de Rafah pour s'enquérir de la situation humanitaire dans la bande de Gaza[33].

En mars 2024, un citoyen français de confession juive dépose plainte pour « diffamation publique en raison de la religion » contre Thomas Portes. Celui-ci avait relayé des messages accusant nommément ce jeune Lyonnais, qui nie les faits, après la diffusion sur les réseaux sociaux d’une vidéo montrant des soldats de Tsahal violentant des prisonniers palestiniens[34].

Le , il fait partie de la soixante-dizaine de députés de la NUPES à venir habillés aux couleurs du drapeau palestinien dans l'hémicycle. Le même jour, un de ses collaborateurs est exclu du palais Bourbon pour s'y être présenté en keffieh palestinien[35].

Le 19 juin 2024, il accuse dans un tweet ensuite effacé « Nétanyahou et ses complices » d'avoir délibérément laissé se produire l'attaque du Hamas contre Israël d'octobre 2023. Selon Rudy Reichstadt, cette accusation fausse viserait en réalité « à inverser le statut de la victime et du bourreau, à exonérer les assassins du Hamas de la responsabilité de leurs crimes »[36].

A la veille des Jeux olympiques de Paris 2024, il affirme que « les sportifs israéliens ne sont pas les bienvenus » et appelle à se mobiliser contre leur présence[37]. Ces propos suscitent une vive polémique[38].

Signalements pour harcèlement sexuel

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En juillet 2018, le groupe de référents « violences sexistes et sexuelles » (VSS) du Parti communiste français reçoit un signalement concernant Thomas Portes d'une militante disant avoir été victime de harcèlement de sa part[39].

En juillet 2022, le comité de suivi contre les VSS de La France insoumise reçoit un signalement d'une militante évoquant plusieurs épisodes impliquant Thomas Portes rapportés par des tiers, notamment l'envoi de messages inappropriés[39],[40].

Polémiques

Exclusion temporaire de l'Assemblée

Le , dans le contexte de mobilisations contre le projet de réforme des retraites, Thomas Portes partage une publication sur le réseau social Twitter où il demande — avec son écharpe de député au corps — au ministre du Travail Olivier Dussopt de retirer « [sa] réforme » tout en posant son pied sur des portraits du ministre Olivier Dussopt, collés sur un ballon de football posé au sol[41].

La publication provoque l'indignation dans les rangs de Renaissance[42],[43]. Olivier Dussopt fait quant à lui savoir sa « consternation »[44]. Lamia El Aaraje, porte-parole du Parti socialiste, utilise les termes « d'outrances » ou encore de « choses qui sont extrêmement graves » pour qualifier le geste[45],[46]. Le secrétaire national du Parti communiste français Fabien Roussel, condamne également la publication[47].

Le à l'Assemblée nationale, une suspension de séance et des passes d'armes entre élus sur fond de demandes d'excuses ont lieu après une prise de parole de Thomas Portes, ce dernier est alors la cible de huées et de hurlements principalement de la part de la majorité présidentielle[48]. Thomas Portes fait savoir aux micros de journalistes que son tweet « n'était pas un appel à la violence » tout en regrettant « si des personnes l'ont mal interprété [ou] l'ont mal vécu ». Il déclare qu'il le « referait » et dit l'assumer[49]. Au cours de cette suspension de séance, le bureau de l'Assemblée nationale se réunit en présence du député et le sanctionne d'une exclusion de 15 jours de séance ainsi que de la privation de la moitié de son indemnité parlementaire pendant deux mois[50],[51]. Thomas Portes réagit en se disant « surpris » de ces sanctions « disproportionnées » selon lui[49].

Sur les sportifs israéliens

Dans le contexte de la guerre entre Israël et le Hamas depuis 2023, au cours d'un rassemblement à Paris en soutien à la Palestine, le , il affirme que pour les Jeux olympiques d'été de 2024 se déroulant à Paris, « les sportifs israéliens ne sont pas les bienvenus »[52],[53] et en appelle à « utiliser pour cette échéance tous les leviers que nous avons pour créer une mobilisation »[53].

La présidente de l'Organisation juive européenne Muriel Ouaknine-Melki et le militant Guillaume Mélanie annoncent porter plainte contre Thomas Portes[53],[54]. Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des institutions juives de France, fait un parallèle avec la prise d'otages des Jeux olympiques de Munich de 1972, où 11 athlètes israéliens avaient été assassinés par Septembre noir, et affirme que le député légitime le Hamas[53],[55],[56]. Jordan Bardella, président du Rassemblement national, dénonce une « haine décomplexée et aveugle » et dresse également un parallèle avec les attentats de Munich[57]. L'adjointe à la mairie de Paris Karen Taïeb réagit en affirmant que les députés LFI sont « un danger et une honte » et que Thomas Portes « prône la haine »[53],[55],[54]. Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin caractérise ces propos « d'antisémites » et affirme que Thomas Portes « met une cible dans le dos des athlètes israéliens »[55]. Le maire de Nice Christian Estrosi du parti Horizons demande même la dissolution de La France insoumise[54]. La haute fonctionnaire Lucie Castets qualifie ces propos de « maladroits », rajoutant qu'il faut préserver la sécurité des sportifs israéliens[58].

Le coordinateur national de LFI Manuel Bompard et le député Aymeric Caron apportent quant à eux leur soutien à Portes[54],[56].

Revenant sur ses propos, Thomas Portes explique qu'il n'est pas contre la participation de sportifs israéliens, mais seulement s'ils le font sous bannière neutre, tout comme pour les sportifs russes dans le contexte de la guerre russo-ukrainienne. En , il avait déjà affirmé dans un tweet : « Les sportifs israéliens doivent participer, à titre individuel, avec un uniforme blanc, sous drapeau et hymne olympique »[55],[54]. Voulant en « finir avec le deux poids, deux mesures » diplomatique, le député précise que « le CIO a à plusieurs reprises interdit les Jeux olympiques à des pays pour leur rôle dans des guerres et des crimes contre l’humanité. » Emmanuel Macron avait justifié le traitement différencié entre athlètes russes et israéliens au motif qu’Israël « n’est pas un attaquant ». Le même jour, le Comité olympique palestinien a annoncé avoir formellement demandé au Comité international olympique « l’exclusion immédiate d’Israël des Jeux olympiques de Paris-2024 », estimant notamment qu’Israël a violé la trêve olympique proclamée par le CIO en menant des « bombardements sur Gaza ayant eu pour conséquence des victimes civiles »[57].

Ouvrage

  • Au cœur de la haine, Tarbes, éditions Arcane 17, , 180 p. (ISBN 978-2918721826)

Notes et références

  1. Corentin Lesueur, « Thomas Portes, le cheminot syndicaliste poursuivi par Génération identitaire », Le Parisien, (consulté le ).
  2. « Ballon à l'effigie d'Olivier Dussopt : Tout savoir sur Thomas Portes, exclu 15 jours de l'Assemblée nationale », CNews, (consulté le ).
  3. « Une nouvelle section des Jeunes communistes à Agen », sur SudOuest.fr (consulté le ).
  4. « La pétition en ligne des Jeunes communistes », La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  5. « Femme de ménage licenciée en gare d’Agen : les Jeunes Communistes vont "continuer à se battre" », sur SudOuest.fr (consulté le ).
  6. « Les candidatures aux élections municipales de 2014 : Agen », sur politiquemania.com (consulté le ).
  7. « Résultats des élections municipales 2014 Agen (47000) », sur midilibre.fr (consulté le ).
  8. « Canton Agen 1 », sur PCF.fr (consulté le ).
  9. Cendrine Albo, « Le Front de Gauche espère une mobilisation citoyenne à l'image de Podemos ou Syriza », sur France 3 Régions, (consulté le ).
  10. « Thomas Portes, cheminot et responsable pour le PCF de la "bataille du rail" », sur PCF-PeerTube (consulté le ).
  11. « Montauban. Les propos sexistes d’un élu sur Facebook font polémique ».
  12. Anne Gresser, « L’Agenais Thomas Portes voyage Au cœur de la haine », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  13. Corentin Lesueur, « Thomas Portes, le cheminot syndicaliste poursuivi par Génération identitaire », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  14. a et b Pierre Lepelletier, « Thomas Portes, ex-porte-parole de Sandrine Rousseau : "J'ai décidé de rejoindre la campagne de Jean-Luc Mélenchon" », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  15. Sébastien Thomas, « Législatives en Seine-Saint-Denis : Thomas Portes (Nupes) confirme face à Patrice Anato (LREM), dans la 3e circonscription », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  16. Stéphane Thépot, « Montauban : le cheminot qui veut "faire dérailler Macron" », sur Le Point, (consulté le ).
  17. « CESER composition ».
  18. Thomas Portes, « La CGT-Cheminots véritable étendard de la voie du service public », L'Humanité,‎ (lire en ligne [archive]).
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  20. « Perpignan : Pourquoi le retour du train des primeurs est une bonne nouvelle pour l'environnement », 20minutes.fr, 27 septembre 2021.
  21. « Appel Collectif Train Perpignan Rungis Vf », sur calameo.com (consulté le ).
  22. Marine Legr, « La relance annoncée du fret ferroviaire sonne-t-elle le retour du train des primeurs à Rungis ? », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  23. Fabrice Valery, « Migrants : le Montalbanais Thomas Portes jugé pour avoir traité Génération Identitaire de "néo-nazis" », sur France 3 Régions, (consulté le )
  24. SensCritique, « Au cœur de la haine Thomas Portes », sur SensCritique, (consulté le ).
  25. Maxime Macé et Pierre Plottu, « Thomas Portes : « L’extrême droite doit être surveillée en permanence » », sur Libération (consulté le )
  26. Maxime Macé et Pierre Plottu, « Un groupe d’extrême droite menace de mort le député LFI Thomas Portes », Libération,‎ (ISSN 2262-4767, lire en ligne, consulté le ).
  27. Bertrand Chomeil, « Menacé de mort par un “comité” d'extrême droite, le député LFI Thomas Portes porte plainte », La Dépêche du Midi,‎ (ISSN 2100-0573, lire en ligne, consulté le ).
  28. « Signez la pétition », sur Change.org (consulté le ).
  29. « (pas de titre) », sur soutienanthonysmith.fr (consulté le ).
  30. « SOUTIEN À ANTHONY SMITH, SANCTIONNÉ POUR AVOIR FAIT SON TRAVAIL ! » (consulté le ).
  31. soutienanthonysmith, « Une première victoire ! », (consulté le ).
  32. « L'édito de Gauthier Le Bret : « Thomas Portes : "Israël, terrorisme d'État" ?» », CNews, (consulté le )
  33. Bertrand Chomeil, « « Nous sommes venus porter le message de la paix », Thomas Portes, le député originaire d'Agen, est à Rafah », La Dépêche du Midi, (consulté le )
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  58. Nicolas Prissette, « « Je ferai des compromis sauf avec le RN » (Lucie Castets, candidate de la gauche au poste de Première ministre) » Accès libre, sur La Tribune, (consulté le ).

Liens externes

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