L'AllemandAndré Greipel (Lotto-Belisol) remporte le classement du meilleur sprinteur, l'UkrainienSerhiy Grechyn (Torku Şekerspor) celui du meilleur grimpeur, tandis que le RusseMikhail Ignatiev (Katusha) gagne le classement des Turkish Beauties. L'équipe française Cofidis rafle le classement de la meilleure équipe grâce notamment à la présence de deux de leur coureur dans les cinq premiers du général.
Le , il est annoncé que Sayar a été contrôlé positif à l'EPO lors du Tour d'Algérie, quelques semaines plus tôt. Ce sera finalement l'Erythréen Natnael Berhane (Europcar) qui sera déclaré vainqueur en à la suite du déclassement de Mustafa Sayar.
Après le Bulgare Ivaïlo Gabrovski, en 2012, c'est la deuxième année de suite que le vainqueur appartient à l'équipe Torku Şekerspor mais est déclassé pour contrôle positif.
Après deux étapes de plaine autour de Alanya, les coureurs arrivent au sommet d'Elmalı. S'ensuivent deux étapes plutôt vallonnées, puis la sixième étape arrive au sommet de la montée de la Vierge Marie à Selçuk, une ascension de 5,5 km avec des passages très pentus. L'épreuve se conclut par deux étapes de plaine[2].
↑« Konya Torku non invitée au Tour de Turquie », sur www.velo-club.net,
↑« Le parcours du Tour de Turquie », sur velochrono.fr,
↑« Règlement UCI du sport cycliste - Titre II : Epreuves sur Route - Article 2.1.005 Épreuves internationales et participation », sur uci.ch (consulté le )
↑« Quatre équipes belges au Tour de Turquie », sur rtbf.be,